Silence! Ça tourne...
La Poudrière 2018
Film étudiant d’atelier, Animation 2D, 0’32 »
Rélisation, développement visuel et animation: Thibault Llonch
Musique : Lisa Chevalier
Au cinéma il y a des règles à respecter et ceux qui s’en affranchissent… à leurs risques et périls !
La Poudrière 2018
Film étudiant d'atelier, Animation 2D, 0'32"
Rélisation, développement visuel et animation: Thibault Llonch
Musique : Lisa Chevalier
Au cinéma il y a des règles à respecter et ceux qui s’en affranchissent… à leurs risques et périls !
Ce film est issu d’un atelier encadré par le réalisateur letton Edmunds Jansons. Nous avions une semaine pour concevoir les images d’un film de 20 secondes avec pour thème « Hobbies dangereux ». Dans le cadre de ce projet j’ai collaboré avec les étudiants, dans mon cas Lisa Chevalier, étudiante spécialisée dans la musique à l’image au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon (CNSD).

Ce film est issu d’un atelier encadré par le réalisateur letton Edmunds Jansons. Nous avions une semaine pour concevoir les images d’un film de 20 secondes avec pour thème « Hobbies dangereux ». Dans le cadre de ce projet j’ai collaboré avec les étudiants, dans mon cas Lisa Chevalier, étudiante spécialisée dans la musique à l’image au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon (CNSD).




Pour ce projet, j’ai expérimenté le registre humoristique du gag. J’ai naturellement pensé au personnage burlesque de Charlot créé par Charlie Chaplin. À la fois taquin et ingénu, il provoque toujours des situations rocambolesques autour de lui. De Tex Avery au studio Hanna Barbera, je me suis aussi inspiré de l’univers de ces cartoons notamment pour le gag de fin.

Pour ce projet, j’ai expérimenté le registre humoristique du gag. J’ai naturellement pensé au personnage burlesque de Charlot créé par Charlie Chaplin. À la fois taquin et ingénu, il provoque toujours des situations rocambolesques autour de lui. De Tex Avery au studio Hanna Barbera, je me suis aussi inspiré de l’univers de ces cartoons notamment pour le gag de fin.



La première musique est volontairement beaucoup inspirée du générique de Jean Mineur que l’on a l’habitude de voir en bande annonce avant les films au cinéma. C’est un clin d’œil à cette mélodie entêtante et très indentifiable du public français que j’ai voulu parodier.
Pour la deuxième musique, je voulais quelque chose de très romantique et lyrique proche des bandes sons que l’on retrouve dans les télénovelas pour renforcer le ton humoristique du film.

La première musique est volontairement beaucoup inspirée du générique de Jean Mineur que l’on a l’habitude de voir en bande annonce avant les films au cinéma. C’est un clin d’œil à cette mélodie entêtante et très indentifiable du public français que j’ai voulu parodier.
Pour la deuxième musique, je voulais quelque chose de très romantique et lyrique proche des bandes sons que l’on retrouve dans les télénovelas pour renforcer le ton humoristique du film.
